Parler devant un public : bonheur ou terreur ?

Parler devant un public : bonheur ou terreur ?

Bien présenter, inspirer un public et être efficace face à un groupe constituent de puissantes compétences pour certains. Pour d’autres, en dépit d’un niveau d’aisance naturelle face à une audience, cela reste un perpétuel défi.

En tant que formatrice certifiée « Personal Empowerment Program » pour les Business and Professional Women, j’anime souvent des ateliers à ce sujet. A chaque fois je rencontre des femmes exceptionnelles, compétentes et charismatiques dont la confiance en soi part en vrille lorsqu’il s’agit de prendre la parole en public.

Si vous êtes propulsée sur le devant de la scène, pas de panique ! Voici 10 coups de pouce pour parler en public sans peur :

1. Connaissez la salle

Familiarisez-vous avec la salle dans laquelle vous allez parler. Arrivez tôt, marchez dans l’espace de « discours », apprenez à utiliser le micro et les supports visuels.

2. Connaissez votre public :

Si le public vous est complètement inconnu, saluez quelques membres à leur arrivée. Il est plus facile de parler à un groupe d’amis que d’étrangers.

3. Connaissez votre matériel :

Si vous n’êtes ni familiarisée ni à l’aise avec votre matériel, votre nervosité va augmenter. Assurez-vous que votre support visuel et le matériel de projection sont compatibles et fonctionnels.

4. Relaxez-vous

Respirez ! Soyez vous-même. N’essayez pas d’être une autre personne.

5. Visualisez-vous en train de faire votre présentation

Imaginez-vous en train de parler d’une voix forte, claire et assurée. En vous visualisant avec du succès, vous en obtiendrez.

6. Prenez conscience que le public veut votre succès

Le public souhaite que vous soyez intéressant, stimulant, porteur de messages et plaisant. Il ne veut pas que vous échouiez à exprimer ce que vous avez à lui dire. Impliquez l’auditoire.

7. Ne vous excusez pas

Si vous bredouillez ou restez muette, arrêtez, souriez et répétez votre phrase. Si vous perdez le fil, dîtes : « Où en suis-je maintenant ? ».

8. Concentrez-vous sur le message et le public

Laissez de côté vos préoccupations anxieuses et concentrez-vous ostensiblement sur votre message et le public. Créez un contact visuel avec chaque personne de la salle. Votre nervosité disparaîtra.

9. Transformez la nervosité en énergie positive

Soyez passionnée par le sujet de votre présentation, utilisez des mouvements et du langage corporel pour montrer votre enthousiasme. Bougez dans la salle, si possible. Dans certaines situations vous devez rester sur un podium, mais apprenez à utiliser des gestes de la main ou de la tonalité de votre voix pour attirer le public à vous.

10. Pratiquez, pratiquez, encore et encore.

C’est l’expérience qui construit la confiance, la clé du discours en public efficace.

Les participantes à mes ateliers ont l’occasion de s’exercer à la présentation et de recevoir de précieux retours d’expérience tout en ayant beaucoup de plaisir. C’est réconfortant de savoir qu’on n’est pas la seule à vivre ce genre de problème. C’est encore plus rassurant de s’entraîner devant un public bienveillant, afin de dépasser ses peurs et retrouver confiance en soi.

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Faire évoluer les équipes par le jeu

Faire évoluer les équipes par le jeu

Aperçu d’une session de jeu (serious game) avec l’équipe de chefs de ventes d’une unité Swisscom Directories SA.

A partir des thèmes imposés par les questions du jeu Kalliance et dans le respect de chacun, cette activité a permis de parler vrai pour mieux se projeter et s’engager dans l’avenir.

L’avantage de l’approche réside dans sa capacité à embarquer l’équipe dans sa totalité, manager inclus. Les sensibilités sont mises en évidences, les problèmes posés, les malaises dans le fonctionnement mis à nu, les forces mises en lumière, les zones d’excellence augmentées. À partir de là, dans une ambiance conviviale, les membres se sont senti encouragés à proposer, à construire et à innover ensemble.

Le résultat ?

Un indicateur du niveau de performance de l’équipe, une prise de conscience des relations entre les membres et le leader, des axes de progrès clairs et des actions prioritaires définies.

 

Leadership plus efficace? Diagnostiquez !

Leadership plus efficace? Diagnostiquez !

Voulez-vous être un leader plus efficace? Commencez par le diagnostic de votre équipe.

 

La configuration d’équipes possédant la bonne composition de compétences et de traits complémentaires est essentielle au succès d’une organisation. Aujourd’hui, les dirigeants doivent réfléchir de manière plus stratégique à la conception d’équipes efficaces.

« Aujourd’hui plus que jamais, les équipes sont la clé de voûte de toute organisation »,

explique la professeure Homa Bahrami, maître de conférences à la Haas School of Business et directrice du corps professoral du Boot Camp pour Leaders expérimentés.

La perspective de dr. Bahrami a été façonnée par des décennies de recherche et de conseil pour la Silicon Valley et des sociétés internationales. Depuis plus de 30 ans, elle a été témoin d’une stratégie de conception organisationnelle allant des organigrammes descendants aux réseaux d’équipes. La raison de ce changement? Un monde en évolution rapide, axé sur la technologie et mondialisé, qui exige une fluidité des compétences et des équipes flexibles dispersées géographiquement.

« Aucun individu à lui seul ne possède la connaissance ou la capacité de conduire des activités majeures », déclare Bahrami. « Aujourd’hui, nous devons considérer les équipes comme le moteur essentiel du succès de l’organisation. »

Cependant, de nombreux managers sont toujours attachés à la notion de structure organisationnelle descendante formelle et individualisée. Mais même les organisations bien établies ou plus anciennes peuvent tirer parti d’une approche plus fluide de la configuration de leurs équipes pour assurer leur succès adaptatif dans le monde VUCA*. Les compétences individuelles restent importantes, mais, note Bahrami, la dynamique unique au sein des équipes est également essentielle à la réussite finale.

« Quand on regarde une équipe, il faut y penser comme une entité vivante », dit-elle. « C’est pourquoi vous ne pouvez pas penser au succès de votre organisation sans penser à la configuration de vos équipes, à l’évolution de vos équipes, à la surveillance continue des signes de santé vitaux de l’équipe. »

Prof. Bahrami souligne qu’il n’existe pas de «formule magique» singulière pour les équipes et que les énergies des leaders sont mieux dépensées en tant que diagnostiqueurs qui évaluent régulièrement la santé et l’efficacité de leur équipe.

Pour soutenir les managers d’équipes dans leur rôle de « diagnostiqueurs »,  INSPIRACTION utilise un outil unique, permettant aux dirigeants et aux membres d’évaluer régulièrement les signes de santé vitaux de leur équipe.

A chaque fois que le moment ‘A-Ha!’ arrive, lorsqu’ils voient l’écart entre ce qu’est leur évaluation de la santé de l’équipe et l’évaluation des membres de leur équipe, je ne peux contenir mon sourire. C’est comme, lors d’une visite annuelle chez le médecin ils découvrent que leur taux de sucre dans le sang a vraiment augmenté et disent :  » Wow. Je n’en avais aucune idée. Je pensais bien manger, je maîtrisais mon cholestérol. »

Si vous aussi, vous êtes un responsable d’équipe qui aimerait évaluer l’état de santé de votre leadership et de l’équipe, contactez-moi. Vous n’êtes pas à l’abris d’une découverte insoupçonnée.

*VUCA, ce sont quatre termes : Volatility (Volatilité), Uncertainty (Incertitude), Complexity (Complexité) et Ambiguity (Ambiguité) donc 4 types de problématiques qui demandent chacune des réponses.

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(Se) Connecter pour faire grandir

(Se) Connecter pour faire grandir

J’étais en train de mettre à jour mon profil Linkedin et je voulais m’y présenter comme ce que je suis et je fais depuis un bon bout de temps : une connectrice.

C’est à dire ? Une créatrice de liens entre les gens, notamment les femmes, une sorte d »entremetteuse » professionnelle entre les femmes qui cherchent… et celles qui aimeraient être trouvées 🙂

Il s’agit, ni plus, ni moins, de “ faire passer le courant ”. Car toute relation commence par une connexion.

Seulement, voilà, certains dictionnaires mentionnent une forme féminine du nom « connecteur » mais… va chercher l’utilisation du mot « connectrice », même Google était désemparé devant ma demande. L’Académie française est encore plus radicale :

Mais

Quelle chance pour les anglophones, car « connector » n’a pas de genre, c’est juste « a person or thing that connects ». 

Bon, Google est quand même sympa et m’apprend que le terme « connectrice » s’emploie, surtout dans les domaines techniques, mais presque exclusivement comme adjectif. On y parle d’une pièce connectrice, une partie connectrice, même une idée connectrice mais… pas question d’une femme connectrice.

Car, en français, les femmes ne (se) connectent pas ?

Mais bien sûr que oui et bien heureusement, ces connexions aboutissent en réseaux qui se multiplient du jour au jour. Sans chercher à exclure les hommes mais souvent pour lutter contre un sentiment d’isolement, les femmes cherchent de plus en plus à se rencontrer, échanger, faire ensemble. 

Quasi inexistants il y a vingt ans, les réseaux jouent un rôle clef pour aider les femmes à progresser dans leur carrière. Et pour accélérer la prise de conscience des entreprises sur la nécessité de valoriser ce potentiel.

Je constate avec satisfaction que le vocabulaire courant intègre de plus en plus naturellement des termes comme entrepreneure, politicienne, écrivaine, directrice et professeure.

Alors oui, je suis et veux me définir une connectrice, que cela plaise ou non à l’Académie française.

Et plus nous parlerons d’entrepreneures, de connectrices, de développeuses, de décideuses et de leurs actions, plus nous nous rapprocherons de l’équilibre autant dans ces métiers que dans la vie de tous les jours.

 

Si vous êtes une femme active et recherchez un contexte de réseautage différent, chaleureux mais professionnel et concerné, contactez-moi. Je vous y connecte avec le plus grand plaisir 🙂

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Déblayer, revivifier, sublimer

Déblayer, revivifier, sublimer

Qui n’a pas rêvé de faire partie d’une vraie bonne équipe ? D’une équipe « de rêve » ? Peut‐être avez-vous déjà vécu cette expérience ? Peut‐être désirez‐vous la revivre ?

Après une magnifique expérience de conduite d’une équipe de ventes, il y a une dizaine d’années, je suis passée du rôle de manager à celui de l’accompagnateur, du facilitateur externe.

Mais dernièrement j’ai fait un retour en arrière. Ou en avant… enfin, de repasser à la tête d’une équipe. Et je peux vous dire que cette récente expérience de leadership d’équipe me comble. Je retrouve les sensations et l’énergie du défi. Le défi de construire et de mobiliser une bonne équipe.

Mais qu’est‐ce qui fait donc une bonne équipe de travail ? Bien sûr, elle a du succès, mais surtout, ses membres savent « où ils s’en vont », chacun sait ce qu’il a à faire, pourquoi il est là et il sait qu’il peut compter sur l’autre. L’énergie qui se dégage d’une bonne équipe est telle que chacun se sent porté par elle.

Cela repose sur une profonde confiance dans les personnes et dans leur capacité à construire et à s’élever. C’est un pari sur l’intelligence collective. Des questions essentielles de travail collectif sont posées, comme celle de l’entraide, du respect et de la reconnaissance de l’autre, de la solidarité, du lien social, de la connaissance de soi, du style de leadership, ou encore de ses propres limites ou de la faculté à intégrer les autres et non à les exclure.

Mobiliser une équipe c’est savoir tirer le meilleur du collectif.

Il y a eu le moment pour moi de l’incertitude, du tâtonnement, avec en filigrane l’assurance de pouvoir compter sur une certaine complicité qui nous relie, de par notre mission partagée. Nous avons eu des moments de doute, de tension même, avons dû aborder et gérer les émotions du groupe dans le processus. Une fois les épisodes délicats passés, l’équipe revivifiée, sublimée, vise à inspirer la construction d’objectifs et de plans communs partagés et portés par toutes. Quel bonheur!

Guider une équipe, l’inspirer, la porter c’est générer des engagements au profit d’un intérêt mutuel et partagé. Avec, en plus, le privilège d’en savourer les résultats, ce dont le formateur est souvent privé. Avoir le privilège de vivre les deux rôles à la fois, d’explorer les deux faces de la monnaie, c’est deux fois plus gratifiant !

C’est pourquoi j’ai choisi de rajouter à mon arc une nouvelle corde, un outil innovant, au service des équipes en création ou en évolution – le jeu d’équipe Kalliance.

De quoi s'agit-il ?

Kalliance le Jeu facilite les prises de conscience de l’équipe et de son leader.

C’est un outil d’intervention en groupe qui permet à l’équipe d’identifier à quel niveau de développement se situe dans ses modes de fonctionnement.

Un moyen ludique mais sérieux pour développer l’engagement, la cohésion, la coopération, et le développement des équipiers au service du collectif. Idéal pour les personnes qui souhaitent bénéficier d’outils simples/efficaces pour augmenter la performance de leur équipe.

Si cela vous intéresse, contactez-moi. Votre équipe mérite bien un booster de performance.

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